Premier jour de la session de formation des femmes maraichères et couturières sur les notions du genre et des droits dus à l’Etat

La salle de l’évêché II du diocèse de Boma a accueilli du vendredi 20 au samedi 21 décembre 2024 la session de formation des femmes maraichères et couturières sur les notions du genre et des droits dus à l’Etat organisée par la Dynamique pour le Droit, la Démocratie et le Développement Durable.

D’entrée de jeu, Maitre François MBUMBA, Secrétaire Exécutif Adjoint de la D5 a dans son mot, souhaité la bienvenue à tous les participants et leur a remercié d’avoir répondu présent à l’invitation qui leur avait été lancé mais aussi, il a ensuite souligné que leur participation marque leur détermination et l’intérêt qu’ils donnent à cette session.

Le secrétaire exécutif adjoint de la D5 a donc expliqué aux participants les termes de référence de cette session de formation qui s’inscrit dans le cadre du renforcement de capacité des femmes maraichères et couturières
Pour ce premier jour, Madame Nana MBUNGU a, dans son intervention expliqué les notions du genre et les problèmes de la société et peu avant d’inviter les participants a tiré profit de cette session de formation.

Poursuivant son allocution, Nana MBUNGU a souligné l’importance de la femme dans la société et l’influence, la détermination, et le rôle que joue une femme dans la société. Elle a ensuite sollicité l’implication des femmes afin de mener cette lutte et à ne pas se considérer inférieures aux hommes.

Cette session de formation permet aux femmes maraichères et couturières de connaitre les taxes à payer à l’Etat Congolais et a connu la participation de 23 personnes en raison de 21 femmes et 2 hommes.

Par ailleurs Nana MBUNGU a signifié que les genres désignent le rôle, le comportement, les activités et attribut socialement construit et que c’est la société qui influence et détermine le rôle et la dimension du genre.

Pour ce premier jour et au nom de tous les participant nous tenons à remercier la D5 pour cette session de formation des femmes maraichères et couturières sur les notions du genre et des droits dus à l’Etat. Une formation combien importante car cela était très nécessaire nous parce qu’il y avait beaucoup de nos droits qu’on ne reconnaissait pas mais aujourd’hui grâce à la D5 nous seront maintenant en mesure de le défendre. Une attention particulière y sera placée dans nos quartiers’’ a déclaré ÉLEONORD BALOLA.

Il sied de noter que ces interventions ont été suivies par des travaux en groupe et c’est ce qui démontre la participation active des toute les femmes présents dans cette session.

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